Après quinze ans d’absence, François d’Argencourt renoue avec une grande famille qui l’avait renié pour cause de mésalliance. Entre condamnation de son déclassement et admiration pour sa fibre sociale, ses choix de vie et de carrière divisent encore. Dans la prison qu’il dirige, détenues et personnels connaissent son intransigeance mais également son intégrité sans faille. Pour tous, par ironie autant que par respect, il est « Saint Juste ». Lorsque deux détenues fortement médiatisées sont transférées dans son établissement, l’assurance provocante de l’une d’entre elle suscite aussitôt son aversion profonde. Pour Saint Juste, sans l’ombre d’un doute, il faut redoubler de rigueur pour contraindre la criminelle à trouver le chemin de sa rédemption. Quand le diable s’en mêle…

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